Palais en Jazz 2017, avec la seconde soirée (samedi 24 Juin) qui fut un véritabl…


Palais en Jazz 2017, avec la seconde soirée (samedi 24 Juin) qui fut un véritable feu d’artifice de surprises et de talents. On reconnait l’intérêt du melting pot proposé par Grand Pianoramax ! Imaginons deux musiciens Suisse (dont un Francophone) et un chanteur/rappeur/animateur Américain qui vient nous chuchoter le temps de l’Amour, lucide et sans cruauté. Au premier abord d’une apparente simplicité, la prestation offerte par Grand Pianoramax est en fait d’une richesse et d’une musicalité complexe et inouïe (merci Gaëtan, je réitère publiquement mes propos sur les jeunes loups et les vieux c..s). Le final, que dis-je, l’apothéose, fut la performance offerte par Billy Cobham ! Chaque coup de baguette monte le volume de nos sens, chaque riff, chaque vague de claviers (mention spéciale à Carmela Ben Naceur à droite de la scène) augmente le niveau et l’acuité de nos capteurs auditifs. Le respect absolu de la puissance de la caisse claire et des deux grosses caisses Tama, dans la cour du Palais Impérial de Compiègne, n’est pas un hasard… Le dispositif et le savoir-faire développé par Amadeus (les caissons Maestro !) enrichissent la noblesse et la complexité des compositions de Billy Cobham. Sonoriser de la Musique vivante est tout un art ! Finir sur Le Lis-Red Baron, et avoir entendu Stratus, Spectrum en direct, sont des moments à tout jamais gravés dans ma mémoire.














Source

0 réponses

Répondre

Se joindre à la discussion ?
Vous êtes libre de contribuer !

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *